Micah est une autre amie de réparation que j'ai rencontrée au début de tout le truc #VisibleMending et même si elle a son propre Swift Darner (peut-être du lot Kickstarter ??), elle s'est inscrite au projet Mending Migration juste pour jouer, et pour cela je suis très reconnaissante !
Comme vous pouvez l'imaginer, Micah a deux jeunes enfants qui la tiennent très occupée. Dans son post sur Instagram, elle nous donne un petit aperçu de cette vie de jeune parent, où elle doit jongler avec toutes ces choses.
« Même maintenant, je poste pendant que j'allaite, je reviens en arrière et je corrige toutes les fautes de frappe causées par le bébé qui me tapait le bras avec sa main libre.
Bref, c'est une serviette en tissu fabriquée par, j'en suis presque sûre, la défunte mère de mon mari. Elle a quelques trous dus à des années d'utilisation ; si vous faites glisser votre doigt, vous pourrez repérer une reprise que j'ai faite auparavant. Peut-être qu'au cours de cette décennie, je la finirai entièrement !
Micah vit aussi en Ontario, comme moi, donc c'est tout à fait pertinent. Je lis un livre sur l'histoire du tissage local dans l'est du Canada et je réfléchis à toutes les étapes nécessaires pour obtenir du tissu fini. Nous sommes littéralement entourés, emmaillotés, par tant de couches de temps, de traitement des ressources et de compétences, le tout par la main de l'homme. Bien sûr, de nombreuses parties du processus sont désormais mécanisées, ce qui modifie le temps et les compétences (de l'opérateur) nécessaires pour obtenir un produit fini, mais les ressources utilisées sont toujours là et plus précieuses que jamais. Réparer le linge de table de tous les jours, aussi banal soit-il, est une façon de se connecter au processus, de mettre en pratique ses compétences et de ralentir la consommation. Et regardez comme cette serviette redevient belle !